Suiteà une étude menée par un bureau indépendant, un classement a été établi afin de définir les villes les plus chers du monde en terme de prix au mètre carré. La France n’a absolument pas à rougir, malheureusement, puisque sur les 10 villes les plus onéreuses au monde, la France compte cinq cités. À titre d’exemple, Saint-Jean-Cap-Ferrat se trouve à la troisième position Si vous cherchez à investir dans l’immobilier, le prix du mètre carré doit certainement faire partie des premiers paramètres que vous analysez avant de démarrer vos recherches. Quels outils peuvent vous en donner une estimation en Bretagne, Provence Alpes Côte d’Azur ou encore en Île de France ? Faites vos recherches sur Internet Internet reste une mine d’informations pour avoir une idée des prix de l’immobilier. Une simple recherche sur internet peut d’ores et déjà vous fournir des informations fiables il existe des sites spécialisés dans ce domaine et dans l’estimation des biens immobiliers, qui recensent les prix au mètre carré en fonction des départements, des codes postaux et même des différents quartiers ou secteurs géographique d’une même ville. Sur le sujet, vous trouverez notamment des statistiques fiables fondées sur les relevés effectués par les Notaires de France. Renseignez-vous dans la presse spécialisée Des magazines comme Capital proposent régulièrement des dossiers sur l’immobilier. Côté presse, on peut citer l’exemple du magazine Capital qui consacre régulièrement des numéros spéciaux à l’immobilier dans les villes françaises. Un document utile si vous souhaitez avoir des indications sur les prix de l’immobilier pour acheter un appartement à Toulon ou encore une maison sur l’île de Ré. Cela peut également vous aider à décrypter le marché immobilier dans différentes villes de France. Vous pouvez ensuite comparer ces différents chiffres avec le prix réel au mètre carré pour les appartements ou maisons qui vous intéressent. Pour cela, il vous suffit de diviser le prix du bien par sa surface comparez ensuite le chiffre obtenu aux différentes statistiques que vous aurez pu récolter… une technique sûre pour évaluer la valeur réelle d’un bien à vendre ! Comment estimer un bien immobilier ? Il faut savoir que les agences immobilières à La Seyne-sur-Mer, Paris, Lyon ou ailleurs se basent sur les critères suivants pour estimer un bien immobilier L’emplacement de la maison ou de l’appartement. C’est le critère principal. Les prix varient beaucoup dans une même ville d’un quartier à l’autre, voire parfois d’une rue à l’autre ! Les critères intrinsèques du logement superficie, étage, bâtiment neuf ou ancien, vue dégagée ou non, terrain, cave, balcon, etc. D’autres facteurs comme la performance énergétique et de plus en plus la connexion Internet sont à prendre en compte. Dans ce dernier cas, le raccordement à la fibre haut débit constitue un vrai plus. Les prix des logements comparables vendus dans le même secteur.Surl'Ile de Ré, la demande est très forte et les délais d’attente sont très longs. Des logements sociaux supplémentaires sur une île touristique au foncier inabordable (17) (article de presse paru sur mairieconseils) lundi 25 février 2013. En adoptant en octobre 2012 leur Scot, les élus de la communauté de communes de l’Île de Ré ont décidé de stopper net l’urbanisation de Actualité Terra Noé sépare le foncier du bâti Donner les moyens à un jeune ménage de la classe moyenne de s’offrir une maison sur le littoral, c’est un vrai engagement politique. Je suis maire, j’assure une politique sociale ! » C’est Léon Gendre Les Républicains qui le dit. Publié le 26 septembre 2019 Donner les moyens à un jeune ménage de la classe moyenne de s’offrir une maison sur le littoral, c’est un vrai engagement politique. Je suis maire, j’assure une politique sociale ! » C’est Léon Gendre Les Républicains qui le dit. Il est maire de la Flotte-en-Ré, où le prix du mètre carré privé oscille autour de 800 euros, et revendique 25 % de logements aidés. Sa collègue de Sainte-Marie-de-Ré, Gisèle Vergnon DVD, est du même avis. Chez elle, le mètre carré coûte environ 600 euros. Au nord de l’île, c’est pire, et sur le continent, entre Bordeaux et Nantes, c’est à peine mieux. 200 ou 300 euros le mètre carré est un prix courant. A ces tarifs, pas facile de maintenir les crèches, les écoles et les emplois. Bail réel solidaire Alors les deux édiles rétais ont rejoint Terra Noé, un organisme foncier solidaire regroupant trois bailleurs sociaux, Habitat 17, la Coopérative vendéenne du logement et Vendée logement esh, qui peinent à augmenter l’offre de logements sociaux le long du littoral, de la Charente-Maritime à la Loire-Atlantique. A ce jour, on compte une dizaine d’organismes de ce type en France. Ensemble, ils ont contracté un bail réel solidaire, qui permet de dissocier le foncier du bâti les mairies ont vendu des parcelles à Terra Noé à un prix très inférieur au marché, entre 60 et 80 euros le mètre carré, et qui reste propriété de l’organisme. Ensuite un opérateur immobilier construit le bien et le loue ou le vend à des ménages éligibles aux conditions de revenus. Ces derniers paient une redevance pour le terrain en plus des traites du crédit, pour un total toujours moins cher que dans le secteur privé. Système partenarial Sur l’île de Ré, c’est la vente du bâti qui est recherché. Le BSR devrait permettre une baisse de 25 à 40 % de la charge financière des ménages par rapport au privé. Le bien peut ensuite être revendu, mais uniquement à un acheteur éligible au logement social et moyennant une plus-value très encadrée pour éviter la spéculation. C’est exactement ce qu’il faut sur l’île de Ré », assure Léon Gendre, où une dizaine de logements va ainsi voir le jour. Il y en aura 52 à Sainte-Marie-de-Ré et 23 à Dolus d’Oléron, sur l’île d’Oléron. Seul frein à ce dispositif, il se fait uniquement par consentement mutuel », reconnaît Gisèle Vergnon. Elle a dû revenir plusieurs fois à la charge pour convaincre des propriétaires privés de la suivre. C’est un système partenarial, poursuit le directeur général d’Habitat 17 et de Terra Noé, Philippe Drujon. Tout est donc question de volonté. » Il semble qu’il y en ait peu, sur le littoral. O. G.
Unetendance qui se maintient en 2022. La Corse ferme le classement avec un tarif au mètre carré de 3 343 euros au 1er avril 2022. D’une manière générale, les Notaires de France relèvent une progression de 8 % pour le prix des appartements en 2021.Celui des maisons individuelles a connu une hausse de 16 %. À titre de comparaison, le taux de croissance
FISCALITÉ - Taxation de plus-values fictives en cas de cession de biens reçus en donation à une valeur égale au prix de cession, imposition à la taxe sur les logements vacants d'habitation inhabitables, rétroactivité de l'abolition du prélèvement libératoire sur les produits de capitaux mobiliers en 2012, plafonnement à 75% de l'ISF... FISCALITÉ - Taxation de plus-values fictives en cas de cession de biens reçus en donation à une valeur égale au prix de cession, imposition à la taxe sur les logements vacants d'habitations inhabitables, rétroactivité de l'abolition du prélèvement libératoire sur les produits de capitaux mobiliers en 2012, plafonnement à 75% de l'ISF... L'invalidation récente par le Conseil Constitutionnel des projets fiscaux de l'actuel gouvernement pointe enfin du doigt un tabou typiquement français celui de l'inégalité devant l'impôt. Car il est aussi question de cela...Des dispositions attentatoires au droit! Quoi de plus injuste en matière fiscale que l'ISF, qui depuis les années 1980 s'applique minutieusement à "punir" ceux qui "jouiraient" d'un capital jugé trop important? Et encore, s'il ne s'agissait que de morale, bien heureux seraient les "Robins des bois" d'une justice fiscale. Mais voilà, il est surtout question de logique, et de ce que celle-ci ne saurait tolérer le paradoxe. Car il est un problème que l'ISF et ses multiples ajustements n'ont jamais résolu celui de la justification rationnelle de son existence. Pour vulgariser comment faire en sorte que cet impôt rapporte plus économiquement qu'il ne coûte à l'État? Pour celles et ceux qui en douteraient, les effets dévastateurs sont bel et bien là...Quelques exemples savoureux qui n'ont pas manqué de desservir les intérêts économiques de la France et des Français Destruction de l'actionnariat familial, qui fait la force du modèle allemand en permettant le développement des TPE et PME dans la des entreprises à des groupes internationaux pour pouvoir payer les droits de de nombreuses fortunes, qualifié d'exil fiscal, mais aussi de hauts potentiels qui espèrent ne pas voir leur réussite du désormais célèbre couple de paysans de l'Íle de Ré, assujetti à l'ISF suite à la flambée du prix du mètre carré constructible, alors qu'il ne pouvait compter que sur un salaire mensuel de 1000 euros. Un dernier exemple criant de vérité, qui souligne la logique dévastatrice de pareil impôt. D'année en année, il est question de taxer votre patrimoine, tant que celui-ci est supérieur ou égal à 1,3 millions d'euros...Et si ce patrimoine constitué grâce à des revenus qui ont déjà supporté l'impôt ne produit pas de nouveaux revenus? Eh bien tant pis! Il sera taxé quand même, année après année, jusqu'à ce que sa valeur passe en dessous de la barre fatidique précitée. En d'autres termes, nouveaux revenus ou pas, l'État s'applique à faire fondre votre patrimoine comme neige au soleil. Un esprit, même simple, n'y verrait qu'une logique destructrice sans volonté créatrice. Car c'est le capital de la nation qui est ainsi détruit et dilapidé. Au secours, Schumpeter reviens! Pire, cet impôt semble même contraire à l'article 10 du préambule de la Constitution de 1946, qui pose que "la Nation assure à l'individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement". Sauf à considérer que c'est l'État en France qui définit arbitrairement les conditions nécessaires au développement de chacun...Ce qui n'est pourtant prévu par aucun texte de loi, et semble de loin contraire aux idéaux rousseauistes. Pour résumer, nous sommes donc en présence d'un impôt qui rapporte peu 4,725 milliards d'euros pour 2012 selon prévisions officielles, qui coûte cher pour sa perception coûts de fonctionnement et présentant de nombreux effets pervers qui alourdissent son coût indirect perte de recettes fiscales entraînée par le départ à l'étranger de foyers fiscaux, d'une part; perte d'activité économique entraînée par les désinvestissements, d'autre part. Le tout entretenu par un État qui, tout en cherchant consciemment à borner le développement de tout un chacun, se paye également le luxe de pointer du doigt celles et ceux qui ne cherchent qu'à préserver leurs intérêts économiques, ceux de leur famille, en voulant protéger le fruit du travail, de la prise de risque et de l'épargne. Vous l'aurez compris, il ne s'agit donc pas de nier la contribution des plus fortunés, mais de s'assurer que celle-ci serve utilement et efficacement l'intérêt général, plutôt que la médiocrité économique. Mais que faire? Comment transformer un mulet en étalon de course? Ou plutôt, comment passer d'une fiscalité aveugle et contre-productive à une action intelligente et efficace de l'État, qui saurait associer les plus grandes fortunes à l'intérêt collectif? Le dispositif ISF-PME qui permet d'investir une partie de son ISF dans des PME et TPE, directement ou par l'intermédiaire d'un fonds, tout en réduisant l'impôt des contribuables, constitue les bases solides d'un élément de réponse... Au-delà de l'équilibre budgétaire à tout prix, et des réformes structurelles qui le rendront possible, il est aussi et surtout question de relancer l'activité. Cette dernière étant le préalable au retour de la croissance, du plein emploi et de la restauration du pouvoir d'achat. Or, les entreprises sont le seul et l'unique vecteur supposé porter ce retour à l'activité. Leur développement est toutefois mis en péril, du fait notamment d'un accès insuffisant aux liquidités qui abondent pourtant sur les marchés financiers. La question est donc de savoir comment il est possible de réorienter une partie de ces liquidités vers le financement des acteurs de l'économie qui en ont le plus besoin. Si l'État ne peut pas tout, demandons lui a minima d'inciter! A défaut de prélever un impôt ISF avec tous les désavantages qu'il présente, pour une ressource in fine limitée, mieux vaut s'assurer que cette ressource serve là où un besoin est identifié. Et le fait est que les entrepreneurs français ont justement un besoin pressant de financement...Et si les institutions publiques de financement existent, la garantie de l'obtention d'un financement effectif reste incertaine. Sans syllogisme aucun, la jonction entre nécessité de réformer l'ISF et mise à disposition de liquidités en faveur des entreprises semble s'établir d'elle-même. Et comme il n'est pas concevable dans ce monde de bénéficier à la fois du beurre et de l'argent du beurre -comprenez de prélever impunément l'argent des grandes fortunes pour l'affecter aux entreprises, sans craindre leur départ- transformons cet argent en investissement! Autrement dit, l'ISF en nouvel ISF. L'impôt de solidarité sur la fortune change de peau et de finalité, pour devenir l'investissement solidaire de fortune! Et quitte à viser une mesure efficace, autant en appeler à la simplicité...Le génie en relève souvent! Notre nouvel ISF conserverait donc une assiette hors résidence principale et un taux pour déterminer les sommes que l'État demanderait aux plus fortunés d'investir dans certains pans de l'économie, afin de servir les intérêts ou les secteurs qu'il aurait répertorié. Le rendement des placements étant plus risqués, plus aléatoires, ils seraient assortis d'abattements fiscaux pour les rendre plus attractifs. Notre ancien assujetti à l'ISF pourrait donc choisir de préférer l'investissement, en sachant qu'il resterait propriétaire de son capital, et rendre du même coup un sérieux coup de pouce à la communauté. Cerise sur le gâteau fiscal, une telle démarche présente en plus l'intérêt non négligeable de la suppression pure et simple du caractère confiscatoire de l'ISF ancienne version. Ainsi les plafonds actuels de l'ISF ancienne version voleraient en éclat, et les quatre milliards d'euros recette de l'ISF, déduction faite des frais de collecte et de redistribution qui seraient mis directement à disposition de l'investissement, ne représenteraient que le minimum des liquidités réorientées vers le financement de l'activité. Car il ne fait aucun doute que les investisseurs iront au-delà du minimum imposé. De son côté, l'État pourrait se satisfaire à la fois de conduire une politique en faveur de l'équilibre budgétaire par la rationalisation de ses dépenses coûts de fonctionnement quant à la collecte de l'ISF, et de chercher à relancer efficacement l'activité par l'augmentation de capitaux disponibles pour l'investissement. Autrement dit, de chercher efficacement à relancer la croissance, de se montrer désireux de renouer avec le plein emploi et d'offrir de véritables perspectives pour la restauration du pouvoir d'achat. Ceux qui toutefois refuseraient de servir les intérêts de l'économie réelle, en même temps que les leurs, seraient, eux, pénalisés. Ils se verraient prélevés intégralement du montant du placement qui aurait dû être effectué. Aux mêmes maux, les mêmes remèdes! Les fonds d'investissement, banques ou investisseurs privés qui constitueraient des réserves trop importantes en ne plaçant pas les sommes qui leur seraient confiées, seraient eux aussi pénalisés. Enfin, et dans le but d'augmenter la part d'investissements disponibles, il conviendrait évidemment d'aménager la taxation des plus-values sur la vente des titres réalisées dans ce cadre, afin de compenser le moindre rendement d'un acte solidaire et responsable. La voie serait ouverte pour la modernisation et la réappropriation de notre appareil de production. En agissant de la sorte, la France pourrait enfin sortir du carcan moral de l'impôt, de l'idéologie absurde au service de la médiocrité économique, et adresser un message fort à ceux qui démarrent dans la vie, riches du rêve d'un Eldorado à construire ailleurs, comme aux fortunes à haut potentiel "Riches, revenez, l'amour de la France n'est pas une contrainte!".
Le19 mai 1988, le pont de l'île de Ré ouvrait à la circulation, une naissance dans la douleur qui transformait "Ré la blanche" en presqu'île, l'ouvrant sur le continent et le développement
Illustration xavierjouan / Pixabay / ImmoPotam. Dans une étude réalisée par Meilleurs Agents, il apparaît que l’Ile-de-Ré 17 voit son prix au mètre-carré être le plus élevé parmi les cinq plus grandes îles bordant les côtes du littoral métropolitain. Il faut compter pour vivre sur cette île de Charente-Maritime, l’équivalent de certaines villes appréciées dans la banlieue parisienne. Avec le retour du printemps, Meilleurs Agents ont décidé de s’intéresser aux cinq plus grandes îles du littoral métropolitain, à savoir celles de plus de habitants. L’Ile-de-Ré Charente-Maritime voit son prix moyen à devançant Noirmoutier Vendée à Belle-Ile-en-Mer Morbihan à Oléron Charente-Maritime à et la Corse à Concrètement, posséder une maison sur l’Ile-de-Ré, Noirmoutier, Belle-Ile-en-Mer ou Oléron est bien moins abordable que vivre à Marseille, la deuxième plus grande ville de France, qui a un prix moyen à “On observe un taux de résidences secondaires particulièrement élevé dans ces cinq îles. En effet, à l’exception de la Corse, le taux moyen s’élève à plus de 57%. La Corse quant à elle enregistre le taux de résidences secondaires le plus faible mais non négligeable avec près de quatre logements sur dix alloués aux résidences secondaires. Avec un pouvoir d’achat immobilier de il est possible de s’offrir un bien entre 20 et 44m² dans ces îles, ce qui correspond à un petit studio ou appartement“, précisent Meilleurs Agents dans leur étude. Ils remarquent que la transaction médiane est de pour l’ensemble de ces îles pour une résidence secondaire. À propos Articles récents ImmoPotam collecte ses données et délivre une analyse auprès des sources qu'il considère les plus sûres. Toutefois, l'utilisateur reste le seul responsable de leur interprétation et de l'utilisation des informations mises à sa disposition. Ce contenu n'a aucune valeur contractuelle et ne constitue en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d'achat de valeurs mobilières ou d'instruments financiers. 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Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.Toustypes de biens confondus, notre estimation du prix moyen du mètre carré à Saint-Martin-de-Ré au 1 août 2022 est de 7 806 €. Vous pouvez réaliser une estimation d'un bien immobilier en ligne pour déterminer sa valeur en fonction de ses caractéristiques.Même les professionnels en sont surpris le marché immobilier nancéen fait preuve de résistance. Sans doute en raison d’un effet “rattrapage”, les prix de l’immobilier résidentiel à Nancy et en périphérie restent fermes, constate Damien Gegout, notaire à Nancy. Depuis la fin du deuxième confinement, les transactions continuent de faire preuve de vitalité à la fois chez les primo-accédants, souvent aidés financièrement par leurs parents, les secundo-accédants en quête d’une surface plus grande et d’un extérieur, et les investisseurs privés intéressés par l’ancien comme par le neuf. »Selon les derniers chiffres de la chambre des notaires, le prix moyen au mètre carré des appartements à Nancy intra-muros s’élève à 2 050 € + 6,3 % sur un an. La crise sanitaire accélère les mouvements. Les locataires aux revenus stables préfèrent acquérir un appartement avec balcon. Les jeunes couples ont tendance à privilégier des maisons en périphérie immédiate de Nancy. Les familles sont tentées de délaisser le centre-ville pour s’offrir une maison spacieuse avec jardin dans l’agglomération », constate Jean-Marc Ostermann, à la tête de l’agence Orpi Stanislas. Avec 47 000 étudiants, la deuxième ville du Grand Est figure parmi les plus grands centres universitaires de France. Aussi les bailleurs achètent-ils des petites surfaces près des pôles d’enseignement du Grand Nancy. Récemment un immeuble de bureaux de 2 000 m2, situé à proximité du CHU de Vandœuvre-lès-Nancy, a été transformé en ré Cet article est réservé aux abonnés. Pour lire la suite, profitez de nos offres dès 1€ Je teste sans engagement En choisissant ce parcours d’abonnement promotionnel, vous acceptez le dépôt d’un cookie d’analyse par Google. Paiement sécurisé Sans engagement Accès au service clientLeprix moyen au mètre carré d’un appartement est de 4 465€. Tandis que pour les maisons, il s’élève à 6 664€ par m². Tandis que pour les maisons, il s’élève à 6 664€ par m². 3 379L'île de Ré, selon les chiffres encore provisoires du recensement 1999, compte résidants permanents, soit une augmentation de 17,5 % depuis 1990. Cette croissance spectaculaire de la population témoigne de l'influence du pont qui, depuis 1988, relie l'île au continent, et en fait sans doute la mieux desservie des îles françaises, à un quart d'heure du centre de La Rochelle et de sa gare TGV et à dix minutes de l'aéroport d'ailleurs récemment rebaptisé La Rochelle-île de Ré ». Cette commodité de circulation a incontestablement dynamisé l'économie insulaire, et fait de l'île de Ré une quasi-banlieue de La Rochelle, du moins dans sa partie sud, la plus proche de la ville, où depuis une dizaine d'années les actifs rochelais, attirés par le cadre de vie, sont de plus en plus nombreux à s'installer tout en empruntant chaque jour le pont pour se rendre à leur travail. Flambée du prix de l'immobilier Les chiffres du recensement sont éclairants à cet égard, les populations des communes de Rivedoux, à la sortie du pont, et Sainte-Marie, sa voisine, s'étant accrues respectivement de 50 et 46 % depuis 1990. Une banlieue qui n'a rien de déshérité, ces nouveaux insulaires étant pour la plupart cadres, professions libérales ou chefs d'entreprise. En sens inverse, un certain nombre de salariés travaillant dans des entreprises ou des administrations insulaires demeurent sur le continent, souvent pour des raisons financières. Car la construction du pont, si elle a eu pour effet d'aligner la plupart des prix pratiqués sur l'île sur ceux du continent, a en revanche amené une flambée du prix de l'immobilier. Le prix du foncier a doublé depuis l'avant-pont, et le mètre carré constructible peut varier de à francs », estime Laetitia Sanchez, chargée de mission habitat et développement local à la communauté de communes de l'île, qui travaille à favoriser la construction de logements locatifs permanents accessibles aux actifs rétais. Ce niveau élevé de prix n'a pas empêché l'île de connaître un boom de la construction, les premiers chiffres du recensement de 1999 faisant apparaître une progression de 26 % du nombre des résidences principales et de 43 % des résidences secondaires par rapport à 1990. Engorgement de la circulation Le chiffre d'affaires annuel du bâtiment sur l'île de Ré, qu'il s'agisse de rénovation ou de constructions neuves, est estimé à 200 millions de francs. Le nombre de résidences secondaires contre résidences principales est également éloquent l'île vit du tourisme, qui représente environ 80 % de son activité économique, les 20 % restants se partageant entre agriculture et ostréiculture, des secteurs qui eux-mêmes bénéficient largement de la manne estivale. Un calcul sommaire évalue à environ 1,5 milliard les dépenses des vacanciers qui fréquentent Ré de Pâques à septembre. La situation économique de l'île est idyllique, reconnaît Léon Gendra, maire et conseiller général de la Flotte-en-Ré, qui ajoute cependant un bémol, la contradiction insoluble entre commodité de circulation et environnement ». Au rythme de 2 millions de véhicules annuels, le pont entraîne un engorgement de la circulation qui frise parfois l'asphyxie, comme lors du dernier dimanche de la Pentecôte, où les automobilistes, englués dans un bouchon de 12 kilomètres à l'entrée du pont, devaient patienter une heure et demie pour quitter l'île. Cet été, 2 francs sur les 110 francs du péage seront affectés à une écotaxe dont les recettes seront destinées à des actions de protection de l'environnement.Leloyer moyen d’un appartement à Paris est de 1 051 € par mois. Ce prix comprend le coût d’une surface de 28,80 mètres carrés. Par ailleurs, la région Île-de-France enregistre une baisse de 1,28 % de ses charges locatives. Le coût moyen au mètre carré a été estimé à 26,10 €. 57% des biens parisiens loués sont des studios
Ses plages, le calme et l’authenticité de ses venelles, ses jardins à l’abri des regards, ses clochers - celui d’Ars-en-Ré est magnifique! - et bien d’autres charmes encore ont fini par faire de Ré l’île la plus chic... mais aussi la plus chère de France. Pour se payer une propriété sur l’île, il faut débourser en moyenne 4500 euros le mètre carré, selon la commune. Au 1er janvier 2016, les chiffres du site mentionnait 4458 euros le mètre carré à Loix, en passant par 5094 euros à Saint-Martin-en-Ré, jusqu’à 5671 euros aux Portes-en-Ré, la commune la plus chère de l’ été, sa population est multipliée par dix! Pourtant, loin du tourisme de masse, les vacanciers viennent ici chercher une authenticité et un art de vivre qui font tout le charme de l’île», peut-on lire dans la description du documentaire Île de Ré les gardiens d’un paradis», qui est diffusé* ce dimanche sur France 5. Chaque été, des familles déambulent en vélo dans les venelles de l’ïle, où habitent des célébrités diverses l’écrivain Philippe Sollers, l’ancien premier ministre Lionel Jospin, ou encore l’acteur Fabrice Luchini...Une île restée à 80% inconstructibleLe documentaire pose de nombreuses questions inhérentes à l’île comment cette île est-elle restée à 80% inconstructible? De quelle manière les contraintes d’urbanisme qui permettent la préservation de l’île pénalisent-elles ceux qui travaillent ici? Comment l’Ile de Ré est-elle devenue un label, une marque, qui dope les ventes de pommes de terre et de fleur de sel? Quel regard portent les anciens, ceux qui ont connu l’île d’avant le pont, sur cette île de Ré devenue très parisienne?Ce film part à la rencontre des vrais rhétais, ceux qui se battent au quotidien pour que l’île garde son âme. Ils sont ostréiculteurs, sauniers, savonniers, paysans, pêcheurs, élus… chacun dans leur domaine, ils défendent avec passion leurs traditions. Car ils savent que ce que l’île a de plus beau à offrir est aussi le plus fragile. Loin de la villa la plus chère de l’île de Ré 600 mètres carrés avec une vue plein sud sur l’océan Atlantique, mise en vente pour la modique somme de... 7,35 millions d’euros!* Diffusion du documentaire Île-de-Ré les gardiens d’un paradis», dimanche 7 février, 20h40 sur France 5
Pour la 4ème année consécutive, les agences immobilières Explorimmo et Explorimmoneuf ont réalisé un classement des 10 villes françaises les plus attractives sur le plan immobilier. Toulouse se hisse à la première place du podium derrière Lyon et Nantes, qui occupaient respectivement la 4ème et la 1ère place du classement l'an dernier. Viennent ensuite Lille, Bordeaux, Villeurbanne, Montpellier, Nîmes, Grenoble et Le Mans. À noter que la capitale, en 7ème position en 2014, a quitté le classement. Trente villes passées au criblePour réaliser ce palmarès, 30 municipalités ont été étudiées. Des critères tels que l'évolution démographique, la situation de l'emploi, la variation du prix moyen du mètre carré dans l'ancien et le neuf ou encore la population estudiantine ont été pris en compte. Des points ont été attribués aux municipalités en fonction de chaque thème, plus le score est faible, plus il est synonyme de performance. Toulouse obtient donc 53 points, soit 25 de moins que Lyon 78. La baisse des prix continueCette étude acte la baisse des prix que connaît le secteur de l'immobilier depuis plusieurs années. La pierre ancienne est particulièrement impactée par cette déflation. Seules les villes de Bordeaux, Toulouse, Metz, Aix-en-Provence, Amien et Angers continuent de voir le prix du mètre carré de l'ancien augmenter. En revanche, ce panorama 2015 relate un retour des investisseurs. Selon cette étude l'annulation du dispositif Duflot au profit de celui de la ministre de Logement Sylvia Pinel serait à l'origine du retour des investissements puisqu'il propose une réduction d'impôt équivalente à 21% du montant de l'investissement pouvant correspondre à une déduction de euros tandis que les anciennes législations se cantonnaient à 13% ou 18%. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info
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Publié le 4 juillet 2019 à 14h49Source Sujet TF1 InfoRÊVE - En France, les biens haut de gamme ont le vent en poupe, selon une étude dévoilée ce mardi par le site spécialisé Belles Demeures. Leurs prix ont augmenté en moyenne de 10,6% en un an. Et ce n'est qu'une moyenne une vue imprenable sur la Tour Eiffel ou sur la mer fait s'envoler les hôtel particulier, appartement exceptionnel... l'immobilier haut de gamme attire toujours en France. Face à une demande accrue, le prix du luxe a globalement augmenté de 10,6% en un an, entre le premier semestre 2018 et le premier semestre 2019, selon le baromètre Belles Demeures des prix de l'immobilier de prestige, dont la première édition a été dévoilée ce mardi en s'appuyant sur annonces publiées sur ce site spécialisé. Le prix de ces logements hors du commun se situe ainsi, en moyenne, à 1,67 million d'euros, avec un mètre carré à euros soit une surface moyenne de 215 m². Ce ratio varie cependant fortement selon le type de bien euros/m² pour les appartements et euros/m² pour les châteaux dont les prix se sont effondrés lorsqu'ils sont isolés géographiquement et difficiles d'accès. Toujours selon cette étude de Belles Demeures, les écarts sont également marqués entre les différentes régions. A Paris, le prix des biens de luxe a ainsi grimpé de 3% pour atteindre euros/m² en moyenne. A noter qu'une vue sur la Tour Eiffel fait s'envoler les tarifs de 15% dans le 8e arrondissement et de 23% dans le aussiLes prix s'envolent sur l’Île-de-Ré, Deauville ou La BauleMême si les prix moyens au mètre carré y sont trois fois moins élevés qu'à Paris, les biens du bassin atlantique sud connaissent également une forte progression +13% dans les Pyrénées-Atlantiques euros/m², +12% dans les Landes euros/m². Dans le sud est méditerranéen, le Vaucluse affiche la hausse moyenne la plus importante +12%, à euros/m². Le marché alpin bénéficie quant à lui de sa proximité avec la Suisse l'augmentation la plus importante concerne la Haute-Savoie +14%, à euros/m². A plus petite échelle, c'est surtout dans les stations balnéaires prisées que ce marché des biens d'exception bat son plein l’Île-de-Ré euros, +16%, Deauville euros/m², +13%, La Baule euros/m², +11%, le Cap-Ferret euros/m², +10% et Biarritz euros/m², +6% connaissent les plus forts rebonds. A l'inverse, les prix se stabilisent, voire baissent, sur la Côte d'Azur, tout en restant à un niveau très haut Riviera niçoise euros/m², +4%, Cannes et ses alentours euros/m², +1%, Saint-Tropez et ses alentours euros/m², -8%. Sans surprise, la vue sur la mer valorise énormément le bien le prix au mètre carré bondit alors de 24% dans le Var et 29% dans les Alpes-Maritimes. Laurence VALDÉSSur lemême thèmeToutTF1 InfoLes + lusDernière minuteTendanceVoir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir plus d'actualitésSanssurprise, l'Île de Ré reste la plus chère du littoral avec un prix moyen de 7 490 euros par mètre carré. À l'inverse, la Corse est l'île française où l'immobilier est le moins cher, avec un prix moyen de 3433 euros au mètre carré. Villes/Régions Réservé aux abonnés Villégiatures, locations saisonnières visite guidée des demeures rétaises de charme. Bleu sur bleu. Un balcon sur l’océan à La Flotte. Zénitude assurée. Adjugé vendu à… 3,6 millions d’euros ! Voilà la coquette somme qu’un riche Américain de Seattle vient de débourser pour s’offrir une des plus belles perles de l’île de Ré. Il faut dire que la maison-loft de 400 mètres carrés habitables, ancien hangar à bateaux réinventé par le starchitecte Jean-Michel Wilmotte, avec quatre chambres et une vue panoramique sur le port de Saint-Martin-de-Ré a de quoi faire rêver. Cette transaction qui flirte avec les 9 000 euros le mètre carré n’est pas très lointaine des prix parisiens. Cela n’a rien de très étonnant quand on sait que 70 % de nos résidences secondaires sont la propriété de personnes domiciliées dans la capitale », commente Sabine Cueille, directrice de l’enseigne Sotheby’s International Realty La Rochelle/île de Ré, l’intermédiaire qui...Barnes – Sothebys x2 – APPH Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Ile de Ré - Des villas de rêve Soyez le premier à réagir Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.Àpartir de 3337 € / mois Terrain constructible viabilisé 400 m² Rivedoux-Plage (17940) Exclusivité Agence Paris Ile De Ré 669 600 € À partir de 3062 € /
Entre la Ville Lumière, la French Riviera, ou la montagne… La France regorge de régions attractives où l’immobilier de prestige a toute sa place. Les agences Belles Demeures et Lux Residence se sont intéressées au marché de l’immobilier haut de gamme des villes les plus prisées de France. Logements de luxe à Paris +3 % sur un anVue sur la Tour Eiffel, sur la mer ou encore les montagnes… L’on reconnaît ces logements de luxe à leurs localisations adresses prestigieuses, à leurs prestations mais aussi à leur valeur d’achat. L’étude menée par l’agence Belles Demeures et Lux Residence est basée sur 150 000 biens répertoriés dans leurs annonces prix moyen au mètre carré d’un logement de luxe avoisinerait les 7 800€ pour une l’enveloppe budgétaire totale qui frôle le million et demi d’euros. De même, les prix de l’immobilier sur ce marché du luxe enregistre une hausse annuelle de 9 %. L’immobilier de prestige Made in France » se porte très bien depuis 2018 et la hausse des prix constatée en 2019 le confirme à nouveau + 9 % sur un an. » – Séverine Amate, Directrice des Relations Médias et Publiques du Groupe France, un appartement prestigieux coûte environ 12 000€ du mètre carré. Alors qu’un château coûte en moyenne 2 450€ du mètre carré ! D’ailleurs, si le château de Versailles était en vente sans son célèbre jardin, il pourrait s’afficher à 154 727 300€.À Paris, le coût du marché immobilier haut de gamme est en hausse de 3 % depuis l’année dernière. Les logements de luxe localisés dans l’est de la capitale 10e, 11e, 12e… s’affichent à 12 000€ du m². Dans les quartiers ouest 14e, 15e… ces biens sont proposés aux alentours de 13 800 du m², alors que ce montant frôle les 17 000€ du m² dans l’hyper-centre 1er, 4e, 5e….Quant à la plus-value au m², l’enquête l’évalue à 21 % dans le 6e et à 40 % dans le 8e arrondissement. Focus sur les logements de luxe à la montagne et à la merCes biens d’exceptions ne se cantonnent pas qu’à Paris. En effet, ils sont bels et biens présents dans de nombreuses régions. D’après l’étude, les prix de l’immobilier prestigieux progressent avec des hausses de 6 à 13 % selon les régions. Dans le département des Pyrénées-Atlantiques ces biens d’exceptions atteignent les 5 900€ du mètre carré. Le département de la Gironde s’aligne sur ces tarifs en proposant des logements à 5 570€ du mètre carré. Alors qu’en Savoie et Haute-Savoie ces derniers avoisinent les 8 000€ du mètre à la montagne que les prix du marché se porte le mieux, surtout dans les stations les plus huppées des Alpes. Dans des villes comme Chamonix ou Courchevel, les prix s’affichent dans une fourchette qui démarre à 9 400€/m² pour atteindre les 20 500€/m². Sur la French Riviera Cannes, Nice et ses alentours le marché de l’immobilier de luxe voit ses prix se stabiliser. Quant à la façade ouest, longeant l’océan atlantique et la Manche, l’immobilier est en hausse depuis le second semestre. Des augmentations qui oscillent entre +6 % à l’Île de Ré et à la Baule 7 100€/m2, +9 à Biarritz 7 000€/m2, +10 % à Deauville 5 640€/m2 et au Cap-Ferret 10 700€/m2.Quant à la plus-value qu’occasionne une vue mer », elle se monte à 22 % du prix au m² dans le département du Var mais atteint 33 % dans les Alpes-Maritimes. L’année 2020 s’annonce sous les mêmes auspices, selon les professionnels du marché, voire même record ! » – Séverine Amate.
Lesîles bretonnes sont victimes de leur succès. Les biens en vente se raréfient et seule une clientèle aisée parvient à devenir propriétaire, laissant souvent les insulaires sur le carreau - 13/04/2022 à 08:50 - Boursorama. Aller au contenu principal Activer le contraste adapté Désactiver le contraste adapté. Bourse. Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de
Haut de 30 mètres et long de près de 3 kilomètres, le pont, avec sa silhouette courbe et élancée, est devenu l’emblème de Ré, indissociable de cette destination touristique parmi les plus prisées de France. Une voiture ne met que trois minutes à franchir le pont 8 à 16euros...Haut de 30 mètres et long de près de 3 kilomètres, le pont, avec sa silhouette courbe et élancée, est devenu l’emblème de Ré, indissociable de cette destination touristique parmi les plus prisées de France. Une voiture ne met que trois minutes à franchir le pont 8 à 16euros l’aller-retour selon la saison. Avant 1988, la traversée en bac en prenait 45, à condition de trouver de la place à bord. Il fallait parfois patienter quatre ou cinq heures avant de pouvoir embarquer et souvent, les Rétaises accouchaient au pied du bac», se souvient le maire de Loix-en-Ré, Lionel Quillet, citant le cas de sa propre 1988, David Canard avait 15 ans. Il garde en mémoire des sensations d’enfance. Je prenais le bac avec ma famille. Embarquer pour l’île de Ré, sentir l’air marin sur le pont, c’était magique, c’était l’aventure!» Ces vacances iodées l’ont tant marqué qu’à l’âge adulte, il s’est installé dans l’île à demeure comme artisan et écrivain. On lui doit plusieurs ouvrages liés à l’histoire locale dont le dernier sur les trente ans du pont 1. Avant cette date, les insulaires ne goûtaient guère à l’exotisme du passage en bac. Beaucoup appelaient de leurs vœux ce pont dont on parlait déjà depuis plusieurs décennies. Ils voulaient se sentir libres de pouvoir rejoindre le continent à toute heure, rappelle David Canard. Ils en attendaient aussi le développement du tourisme. » Ce qui s’est produit, comme d’autres conséquences moins positives qu’annonçaient des détracteurs du mois de chantier pour un défi technologique»Les travaux ont duré vingt mois pour réaliser ce pont de 2,926 kilomètres sur 15,50 mètres de large, supporté par 28piles. Vingt mois, c’était peu pour un pareil défi technologique. Le chantier s’est déroulé sans difficulté ni contretemps» , rapporte, admiratif, David Canard. Sans surprise, le pont, construit par Bouygues, le plus long de France après celui de Saint-Nazaire Loire-Atlantique, a connu un succès immédiat 1,5 million de véhicules l’ont emprunté dès la première année; 3,47 millions en 2017. Le conseil départemental de Charente-Maritime s’efforce de prévenir le mal avec son application Ré Info Trafic lire par ailleurs. Il aura fallu 120 ans pour établir une liaison fixe entre le continent et l’île. En 1860, des négociants rétais rêvaient bien d’un tunnel, mais ce fut le bac qui améliora d’abord les navettes maritimes, sans jamais satisfaire complètement. Lenteur, prix du passage, coût d’exploitation, faible capacité de charge..., le bateau fut toujours décrié. Le pont aussi a eu ses détracteurs, avant même son édification. Le département de Charente-Maritime, propriétaire de l’ouvrage, avait voté sa construction dès 1974, mais de recours en procès, les travaux furent retardés jusqu’en 1986. Les élus eux-mêmes se voulaient prudents, pressentant la révolution que cela allait entraîner pour ce territoire de 85 km2. David Canard rappelle également les conséquences qu’évoquait le commandant Cousteau en1986 dans un rapport. Le défenseur de l’environnement affirmait que les espaces naturels de l’île ne pourraient être préservés malgré les mesures de protection. Il prédisait le déclin de l’agriculture rétaise, une pression foncière exacerbée et des zones d’urbanisation saturées. Si, sur le plan environnemental, les élus de l’île sont parvenus à maintenir leur territoire à 80 % d’espaces naturels pour 20 % urbanisés, ils n’ont pu contenir la croissance du nombre de véhicules passant le pont. On a bloqué la construction, mais aujourd’hui, les maisons sont pleines. Les particuliers louent de plus en plus par le biais de sites comme Airbnb. De fait, il y a de plus en plus de monde dans l’île et de plus en plus de circulation» , reconnaît Lionel Quillet, président de la communauté de communes de Ré.Cohabitation difficile»Le succès touristique a aussi provoqué l’engorgement des routes, et même les cohortes de cyclistes apportent leur lot de nuisances. Les chemins agricoles ont été transformés en voies cyclables» , déplore l’ostréiculteur Jean-François Beynaud, pour qui la cohabitation est difficile».Mais le pont a eu un effet globalement positif », tranche Lionel Quillet. Le pont a sauvé l’île! La vie locale était moribonde avant lui», alors qu’à présent, Ré est l’une des rares îles françaises dont la population augmente. Aujourd’hui sur dix communes nous avons dix écoles, dix mairies, des postes, un collège, 56 services médicaux, cinq crèches. Sans le pont, l’île ne serait aujourd’hui peuplée que de vieilles personnes », relève-il.1 30 ans du pont de l’île de Ré», de David Canard, La Geste éditeur, 15euros. Le prix du foncier a flambé Depuis l’ouverture du pont, le nombre de maisons sur l’île a doublé 22 135 en 2013, 60 % de résidences secondaires et la population y passe de 18 000 en hiver à environ 125000l’été. L’attractivité de l’île a entraîné une hausse prodigieuse du prix du foncier, souligne le maire de La Flotte-en-Ré, Léon Gendre, opposant historique au pont. Un terrain agricole, qui valait 1,07 euro le mètre carré, se vend jusqu’à 600 euros, plus une fois devenu constructible. Le pont a créé des fortunes immenses parmi les propriétaires fonciers et les professionnels de l’immobilier, mais il chasse les salariés qui ne peuvent pas louer et encore moins acheter.»
Ensupplément taxe de séjour 1€65 par jour et par personne de plus 18 ans. Prix à la journée : du 01.01 au 12.05. 2021 167€ la nuit (minimum 3 nuits) Du 12.05 au 16. 05. 2021 170€ la nuit (minimum 4 nuits) Du 16.05 au 30.06.2021 167€ la nuit (minimum 3 nuits) Vacances scolaire minimum 07 jours. Nettoyage de départ : 55 €.Le 19 mai 1988, le pont de l'île de Ré ouvrait à la circulation, une naissance dans la douleur qui transformait "Ré la blanche" en presqu'île, l'ouvrant sur le continent et le développement économique mais l'exposant aussi au tourisme de masse, qui divise encore aujourd'hui ses habitants. Haut de trente mètres et long de près de 3 km, le pont, avec sa silhouette courbe et élancée, est devenu l'emblème de Ré, indissociable de cette destination touristique parmi les plus prisées de France. Une voiture ne met que trois minutes à franchir le pont 8 à 16 euros l'aller-retour selon la saison mais avant 1988, la traversée en bac en prenait 45, à condition de trouver de la place à bord. Il fallait parfois patienter quatre ou cinq heures avant de pouvoir embarquer et souvent, "les Rétaises accouchaient au pied du bac", se souvient le maire de Loix-en-Ré, Lionel Quillet, citant le cas de sa propre grand-mère. Vue aérienne du pont qui relie l'île de Ré au continent, le 15 avril 2015 AFP/Archives - XAVIER LEOTY Sans surprise, le pont, construit en 20 mois par Bouygues, plus long de France après celui de Saint-Nazaire Loire-Atlantique, a connu un succès immédiat 1,5 million de véhicules l'ont emprunté dès la première année, et 3,47 millions en 2017. Mais il aura fallu 120 ans pour établir une liaison fixe entre le continent et l'île de Ré. En 1860, des négociants rétais rêvaient bien d'un tunnel, mais ce fut le bac qui améliora d'abord les navettes maritimes, sans jamais satisfaire complètement. Lenteur, prix du passage, coût d'exploitation, faible capacité de charge... le bateau fut toujours décrié. Le pont aussi a eu ses détracteurs, avant même son édification. Le département de Charente-Maritime, propriétaire de l'ouvrage, avait voté sa construction dès 1974 mais, de recours en procès, les travaux furent retardés jusqu'en 1986. Un employé inspecte l'intérieur du pont qui relie La Rochelle à l'île de Ré, le 16 mai 2018 AFP - XAVIER LEOTY Les élus eux-mêmes se voulaient prudents, pressentant la révolution que cela allait entraîner pour ce territoire de 85 km2. "Je ne suis pas sûr que la vision de l'avenir consiste à faciliter la pénétration de l'automobile. Il n'y a pas de sauvegarde de la qualité de la vie sans un minimum de contraintes", déclarait ainsi en 1979 le maire de La Rochelle, Michel Crépeau. - Cohabitation difficile - Depuis l'ouverture du pont, le nombre de maisons sur l'île a doublé en 2013, 60% de résidences secondaires et la population y passe de en hiver à environ l'été. "L'attractivité de l'île a entraîné une hausse prodigieuse du prix du foncier", souligne le maire de La-Flotte-en-Ré, Léon Gendre, opposant historique au pont. "Un terrain agricole, qui valait 1,07 euro le mètre carré, se vend jusqu'à 600 euros, plus une fois devenu constructible. Le pont a créé des fortunes immenses parmi les propriétaires fonciers et les professionnels de l'immobilier mais il chasse les salariés qui ne peuvent pas louer et encore moins acheter", dénonce-t-il. Le succès touristique a aussi provoqué l'engorgement des routes, et même les cohortes de cyclistes apportent leur lot de nuisances "Les chemins agricoles ont été transformés en voies cyclables", déplore l'ostréiculteur Jean-François Beynaud, pour qui "la cohabitation est difficile." Circulation fluide sur le pont qui relie l'île de Ré au continent, le 16 mai 2018 AFP - XAVIER LEOTY "On sait qu'on va avoir de plus en plus de monde. Airbnb, les investisseurs qui rachètent les résidences principales pour louer, la réforme fiscale impôts sur la fortune et taxe d'habitation, tout cela va jouer. Même le vélo électrique, plus rapide, va entraîner de nouveaux problèmes de circulation", reconnaît Lionel Quillet, également président de la Communauté de communes de l'île de Ré. Raison de plus selon lui pour que le futur plan local d'urbanisme intercommunal classe 80% de la surface de l'île en zone non constructible, même si cela "concourt à l'augmentation des prix car ça crée de la rareté". Mais "le pont a eu un effet globalement positif", tranche Lionel Quillet. "Le pont a sauvé l'île ! La vie locale était moribonde avant lui" alors qu'à présent, Ré est l'une des rares îles françaises dont la population augmente. "Aujourd'hui sur dix communes nous avons dix écoles, dix mairies, des postes, un collège, 56 services médicaux, cinq crèches...", relève-il.i3F1m.